01
Septembre
2018
|
08:00
Europe/Amsterdam

« One of not many », Vacheron Constantin dévoile sa nouvelle campagne de communication

« One of not many ». La signature de la nouvelle campagne de Vacheron Constantin définit l’univers d’exception qu’elle incarne depuis plus de 260 ans. Dans l’écrin prestigieux de la Haute Horlogerie, une Maison pour connaisseurs, attachée aux valeurs humaines et riche d’un savoir-faire transmis à travers des générations de maîtres horlogers et artisans.

Fondée en 1755, Vacheron Constantin est la plus ancienne manufacture horlogère au monde sans interruption d’activité. Depuis plus de 260 ans, elle ne cesse de se réinventer dans le respect de la plus pure tradition de la Haute Horlogerie. Une culture fondée sur le savoir, et non sur le paraître : l’innovation constante, l’esprit d’exploration, la passion et l’exigence sans compromis de ses horlogers et artisans, la transmission de savoir-faire ancestraux, la richesse de son patrimoine et sa capacité à s’adapter à son temps, sont autant de valeurs qui font d’elle cette Maison reconnue et respectée dans le cercle fermé des connaisseurs de la Haute Horlogerie.

« Le secteur de l’horlogerie représente plus d’un milliard de montres par an, dont seulement 25 millions sont produites en Suisse et à peine 500 000 peuvent se revendiquer du statut de Haute Horlogerie. Face à ce constat, Vacheron Constantin se concentre sur une production limitée et raisonnée, nécessaire pour offrir le plus haut niveau de qualité, d’esthétique et de savoir-faire. Au sein d’un segment déjà très exclusif, notre Maison s’attache à garder un caractère unique et sophistiqué. En cela nous sommes résolument « One of not many », explique Louis Ferla, CEO de Vacheron Constantin.

Par leur sobriété et leur élégance, les montres Vacheron Constantin portent en elles cette identité formée sur l’équilibre subtil entre expertise technique et recherche esthétique, entre tradition et innovation. Elles naissent de la rigueur, du dépassement de soi et de l’humilité.

Pour incarner cet esprit, la Maison a choisi de collaborer avec des talents dont la personnalité et le travail expriment la quête permanente d’excellence, l’ouverture sur le monde et l’esprit d’innovation et de création caractérisant Vacheron Constantin. Singuliers, visionnaires et passionnés, ils sont des experts reconnus dans leur propre domaine, reflétant eux aussi le concept de « connaisseurs».

Parmi eux, l’artiste unique en son genre et fascinant Benjamin Clementine. Considéré comme un des artistes musiciens les plus talentueux de sa génération, Clementine s’impose comme un virtuose multi-instrumentaliste, poète contemporain et vocaliste hors-pair. Doté d’une créativité qui s’adresse instinctivement à une génération qui en veut toujours plus, tout en restant fidèle à son art, Benjamin Clementine incarne le « One of Not Many ».

James Bay, quant à lui, estime que la créativité n’est jamais acquise : elle nécessite constamment de trouver un subtil équilibre entre temps, concentration et émotions. Loin de se satisfaire du succès global de son premier opus, il explore de nouveaux territoires musicaux et choisit de se réinventer avec un deuxième album audacieux et sophistiqué, qui combine les sonorités rock et soul.

Tous deux sont associés à l’élégance moderne et cosmopolite de la collection Fiftysix®.

Designer influent et multidisciplinaire, Ora Ito adopte les lignes épurées de la collection Patrimony, une expression singulière de l’harmonie entre excellence mécanique, sobriété esthétique et le concept de « Simplexity » dont il est à l’origine.

Photographe aguerri et explorateur intrépide comptant notamment à son actif une ascension sans oxygène de l’Everest, Cory Richards parcourt le monde pour en capturer les plus belles images. Il partage avec la ligne Overseas l’esprit de la découverte et de l’ouverture sur le monde.

« Les univers où œuvrent ces talents – la musique, le design, l’exploration et la photographie – sont des territoires légitimes, pertinents et sur lesquels Vacheron Constantin s’exprime depuis longtemps. Ce qui prime, à la fois dans leur travail et dans le nôtre, c’est de sublimer les choses afin d’engendrer des émotions », rappelle Laurent Perves, Directeur Marketing et Communication de la Maison.

Inspirés, ces artistes ont pris part à la direction artistique de la nouvelle campagne de communication. « C’est une première étape dans un projet plus vaste de collaboration créative avec chacun de ces talents, et d’autres à venir », précise Laurent Perves. « Ces rencontres humaines et artistiques s’inscrivent indéniablement dans la lignée de celles qui ont jalonné l’histoire de la Maison depuis sa création en 1755 ».

Les images de la campagne, capturées par Phil Poynter, saisissent ces talents dans les coulisses de leur art et de leur savoir-faire. D’un visuel à l’autre, la main pose son empreinte, ajuste les proportions, règle la netteté ou accorde son instrument, à la manière des artisans et maîtres horlogers de Vacheron Constantin.

#OneOfNotMany
​#VacheronConstantin

  • ​Creative Direction : Volker Gehr
  • Art Direction : Pierrick Jegou, Alexa Chessex
  • Photography & film : Phil Poynter
  • Locations : Capitol Studios LA, Abbey Road Studios London, Paris Palais Royal, Vasquez Rocks CA.

 

Benjamin Clementine

En 2013, Benjamin Clementine surgit comme venant de nulle part ! Ce n’était pas faux : ce jeune autodidacte a appris par lui-même la musique classique lorsqu’il était enfant avant de devenir l’un des artistes les plus fascinants et uniques de ces dernières années.

Admiré pour son travail et sa singularité, Benjamin Clementine sort un premier album intitulé At Least For Now, devenu disque de platine et récompensé en 2015 par le prestigieux Mercury Prize au Royaume-Uni ainsi que par les Victoires de la Musique en France. Après avoir collaboré avec Damon Albarn sur l'album de Gorillaz, Humanz, qui remporta un Grammy Award, Benjamin Clementine présente en 2017 un deuxième album très attendu : I Tell A Fly.

Entièrement écrit, enregistré et produit par l’artiste lui-même, I Tell A Fly explore le monde qui l’entoure à travers le prisme de son histoire personnelle. En ressort un album où la compassion et l’empathie côtoient la colère, dans un registre satirique et polémique, universellement salué par la critique. S’ensuivent tout naturellement des tournées à guichets fermés, y compris au Carnegie Hall de New York. L’organisation média NPR n’hésite pas à qualifier Benjamin Clementine de « George Orwell musical de notre époque ».

James Bay

Elevé aux sons d’Eric Clapton et de Michael Jackson, puriste du Blues pendant son adolescence, James Bay a fait son apprentissage musical comme troubadour des scènes libres Open Mic, avant de sortir son premier album Chaos And The Calm en 2015, où figurent les célèbres Let It Go et Hold Back The River.

Véritables triomphes, ces titres enregistrés à Nashville lui ont permi de décrocher des nominations aux Grammy Awards, un prix Ivor Novello et un clin d'œil du magazine GQ. Sans compter une reconnaissance grandissante avec diverses distinctions telles que « meilleur nouvel artiste » en 2015, puis « meilleur artiste solo » et « meilleur artiste masculin » aux Q Awards et aux BRITS Awards l’année suivante.

Lorsque James Bay part en tournée, ses chansons soulèvent l’enthousiasme du public, créent des moments éblouissants, vibrants jusqu’à lui arracher des larmes. S’ensuivent des concerts à guichets fermés à travers le monde – y compris des tournées majeures aux États-Unis et au Royaume-Uni, ainsi que dans de prestigieux festivals.

Fin 2016, de retour de tournée, James Bay prend de nouvelles directions. Les premiers titres de son deuxième album émergent rapidement. Non seulement il choisit d’explorer de nouveaux territoires, mais il est véritablement enthousiaste et inspirés par les possibilités qui se présentent. En 2018, toujours en quête d’évolution, James Bay revient avec un nouvel album, Electric Light, dans un style à la fois plus musclé et empreint d’émotions.

Ora Ito

Né en 1977, Ora Ito se fait connaître dès ses 19 ans en créant des objets imaginaires en 3D pour Vuitton, Apple et Nike, parmi d’autres. Depuis, il a collaboré aux collections de prestigieuses marques internationales dans le secteur du design et de l’architecture. Sa philosophie qu’il nomme « Simplexité», est l’art de donner à un objet aux fonctions complexes une apparente simplicité.

Ses créations recèlent des codes d’un nouveau luxe intemporel et universel avec le même minimalisme. En 2011, Ora Ito est nommé « Chevalier des Arts et des Lettres » en France. En 2013, il crée le MAMO, « Marseille Modulor », puis des expositions avec de grands artistes tels Xavier Veilhan (2013), Daniel Buren (2014) et Dan Graham (2015).

Parmi ses réalisations les plus récentes : en 2016, le nouveau tramway de la Ville de Nice, la chaise ICO dévoilée au Salone del Mobile de Milan et l’entrée de six de ses pièces emblématiques dans la collection permanente du Centre Pompidou à Paris. L’année 2017 aura notamment été marquée par le Yooma, un hôtel nouvelle génération, à proximité de la Tour Eiffel, pour lequel Ora Ito a collaboré avec Daniel Buren.

Cory Richards

Le parcours de ce jeune explorateur et photographe professionnel est des plus atypiques. Cory Richards quitte l’école à l’âge de 14 ans et fera quelques années plus tard l’ascension de l’Everest sans oxygène.

Son appareil photo l’a conduit du cadre limité des studios aux espaces les plus éloignés et sauvages du monde : des sommets vierges d’Antarctique à l'Himalaya au Népal, jusqu’aux zones de guerre oubliées en Angola, en Ouganda et au Pakistan. Là, il capture non seulement l’essence même de l’exploration mais également les paradoxes et les incroyables similitudes des humains.

Cory a accompli deux ascensions de l’Everest, dont l’une sans oxygène en 2016. Grimpeur passionné, il est également auteur de films documentaires et reconnu comme l'un des photographes d'aventure et d'expédition les plus réputés au monde. Les images saisies par son objectif ont été reprises dans le magazine Outside, ainsi que dans le New York Times. Son travail cinématographique a, quant à lui, remporté des prix dans presque tous les plus grands festivals de cinéma, y compris le premier prix au Banff Mountain Film Festival.